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leur fit aussitôt lâcher prise. S’emparant alors du bras de l’ex-membre du bureau central : « Ne craignez rien, lui dit-il, c’est moi qui vous ramène chez vous. »

Dès que Solignac se vit en sûreté, il se précipita aux pieds de Duclos, qu’il appela son Dieu, son sauveur ; lui offrit de l’or, des services, tout ce qu’il demanderait. « Rien ! rien de vous ! lui dit le Superbe pas même votre amitié ; je n’en veux pas !… »

Quelques jours après Duclos était à Paris.