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Myrtes et Cyprès.
En ce siècle, où le penseur nie,
Il croit, lui, paisible rêveur.
Au vieillard à la main tremblante,
Aux orphelins persécutés,
À l’indigent qui se lamente,
À l’ouvrier de nos cités,
À tout ce qui souffre et l’implore,
Au captif qu’on prive du jour,
Il répond, lui, l’écho sonore,
Bénissant par un chant d’amour.
Et, s’il faut même qu’il ajoute
À sa lyre, doux instrument,
La corde d’airain qu’on écoute
Comme le tocsin alarmant,
Pour punir l’injuste et l’infâme,