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PREMIÈRE ARGUMENTATION

OU

CONSIDÉRATIONS SUR LES MOLLUSQUES,

ET EN PARTICULIER SUR LES CÉPHALOPODES,

PAR M. LE BARON CUVIER.

(séance du 22 février 1830.)

La publication de mes répliques manquerait son but, si je ne tenais mes lecteurs au courant des observations et des doctrines auxquelles elles répondent. Une heureuse circonstance m’en offre les moyens. Un jeune disciple de M. Cuvier, d’un dévouement sans bornes pour son maître, M***, dont l’administration du Journal des Débats a fait son collaborateur pour la section des sciences, a accordé aux lectures de mon savant confrère la majeure partie de l’étendue de son journal le lendemain même des séances académiques. Si ce n’est la totalité, c’est la plus grande et la plus importante partie des Mémoires, qui s’y trouve textuellement transcrite. Je crois donc ne pouvoir mieux faire que de m’en référer à ces extraits étendus ; et, comme je le fais aujourd’hui, je puiserai dorénavant à la même source pour les autres lectures de M. Cuvier.