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E. Geoffroy Saint-Hilaire - Principes de philosophie zoologique - 1830.djvu/230
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226
TABLES.
Pages.
Vues de classification zoologique.
146
L’hyoïde de l’alouatte est, sous tous les rapports, un hyoïde de mammifère : il n’est aucune de ses parties qui ne se ramène à leurs analogues. Ses différences tiennent à des changemens dans les volumes respectifs de ses élémens constituans ; changemens eux-mêmes appréciables par une des règles de la théorie des analogues, celle dite
balancement des organes
.
149
La langue des oiseaux ne prend de partie osseuse qu’en s’appropriant une portion de l’appareil hyoïdien.
155
Les monstres furent considérés par Montaigne sous un point de vue si élevé et si pénétrant, qu’on donne en quelque sorte le développement de sa pensée en présentant la monstruosité comme le sujet d’une science nouvelle. Les élémens de cette division de la grande science de l’organisation vont être exposés dans un ouvrage
ad hoc ;
lequel ne tardera pas à paraître.
185
Les faits sont une seconde fois acquis à la science, s’ils sont rapprochés, comparés, généralisés et abstraits en propositions philosophiques.
188
L’anus rapproché de la bouche devient aussi un des caractères de quelques espèces appartenant à l’embranchement des animaux vertébrés.
198
L’universalité du principe d’unité d’organisation est un fait nécessaire, et cette nécessité vaut déjà démonstration.
219
La théorie des analogues fut conçue
à priori
et se trouve en effet manifestement présentée en germe dans un écrit à la date de 1796.
220
FIN DES TABLES.