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non… j’ai tort de t’accuser… pardonne-moi… je ne sais ce que je dis… ce n’est pas ta faute si je te déplais !… Tu as été bien bon au contraire de supporter si longtemps ma présence sans te fâcher, sans me faire sentir combien elle te pesait !… Oh ! ne crains rien, je vais m’éloigner… Jamais plus tu ne me reverras !… Adieu mon chevalier Louis !… Adieu !…

Jeanne s’était vivement levée, mais sa faiblesse trahit son courage et sa volonté : elle dut se soutenir contre la muraille pour atteindre jusqu’à la porte.