Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/177

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Au moindre geste que tu ferais pour fuir, je te tuerais.

La frayeur de l’esclave était telle que ses dents claquaient avec bruit.

Il remplaça par une pantomime fort expressive la voix qui lui manquait : ses mains jointes, son front incliné, témoignaient de son obéissance.

Nativa, quoiqu’il fût alors près d’une heure du matin, n’était pas encore couchée.