Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VII, 1853.djvu/175

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

armé jusqu’aux dents, se recula avec effroi.

— Pas un mot, lui dit Laurent en portant la main à ses pistolets, ou tu es mort ! Je suis un boucanier de l’île de la Tortue : Grenade est en notre pouvoir !… Conduis-moi vers ta maîtresse, la senorita Sandoval !

La présence d’un boucanier produisait toujours une terreur extraordinaire sur les Espagnols.

Les nègres, plus superstitieux et plus