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— Oui, Jeanne, car cet amour je le ressens pour toi.

— Tu m’aimes comme un amant, toi ?… Eh bien, ajouta Jeanne après avoir hésité, parle, je t’écoute !

Le flibustier se rapprocha de Jeanne, s’assit dans une chaise basse placée auprès du hamac, puis, prenant une des mains de la jeune fille dans les siennes :

— Ma délicieuse Jeanne, lui dit-il, l’amour est un sentiment qui ne ressemble