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Cette métamorphose s’opéra comme par enchantement.

Les aventuriers s’empressèrent de haler dedans les canons et de fermer les sabords de la batterie ; le pavillon espagnol monta à la corne et flotta perfidement dans les airs, tandis qu’un petit nombre de gabiers restèrent seuls visibles dans le gréement.

Le lendemain, vers le milieu du jour, la frégate arrivait à sa destination.

Laurent fit cacher le navire sous de