Page:Duplessis - Les Boucaniers (Montbars l'exterminateur), Tome VI, 1853.djvu/171

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Il allait répondre à Jeanne, lorsque Montbars mit fin à la conversation des deux jeunes gens en disant à son neveu :

— Chevalier, il doit être quatre heures et demie ; il est temps de partir.

Soit que le chef de la flibuste craignît d’affaiblir le courage de de Morvan, en lui laissant voir ses appréhensions, soit qu’habitué aux scènes de violences et aux hasards des armes, l’issue du combat qui allait avoir lieu ne lui causât aucune émotion, toujours est-il qu’il