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Tel fut le spectacle qui, le lendemain de son arrivée chez le boucanier Barbe-Grise, frappa de Morvan à son réveil.

Levé dès quatre heures du matin, le jeune homme attendait, pensif et recueilli, l’heure du combat ; son cœur était calme, son esprit agité.

Il pensait à sa vie, jadis si paisible et si effacée, aux événements si nombreux qui, depuis quelques mois, avaient rempli son existence, à son amour pour Nativa.