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lier, continua le bas-Breton, à présent je ne crains plus rien pour vous ! Cette image que je retrouve ici est un avertissement du bon Dieu. Je consens à être pendu si vous ne tuez pas demain, comme un chien enragé, l’homme aux violons et aux flûtes… Ah ! si j’avais des cierges !…

— J’en ai, moi, dit Barbe-Grise.

— Vous avez des cierges, vous… vieux chasseur de taureaux ! s’écria Alain ravi. Eh bien ! touchez là, vous devez être un brave homme.