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Pendant cette journée qu’ils passèrent ensemble, Legoff se révéla à de Morvan sous un nouveau jour, c’est-à-dire comme un marin extrêmement distingué.

Il interrogea le jeune homme sur ses deux voyages en Islande, et montra dans la conversation une connaissance approfondie de l’art nautique.

De son côté, le boucanier parut enchanté des dispositions naturelles que de Morvan paraissait avoir pour la marine.

— Mon cher Louis, lui dit-il, ce n’est