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C’était d’après mes ordres que l’armateur Cointo vous comptait une pension mensuelle de cinquante livres !

Que votre fierté ne s’indigne pas de ces faibles secours, je ne les considère que comme des avances. Une heure d’audace vous suffira, si vous voulez bien suivre mes conseils, pour vous acquitter vis-à-vis de moi, au-delà même de ce que vous me devez.

À présent, et pour en finir d’ici à quelque temps avec ce sujet de conversation, il me reste à vous demander, au nom de votre père qui avait une si