Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/84

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Alain, tout en prononçant ces paroles, glissait sa main gauche dans la poche du drapier.

— Ah ! misérable ! assassin ! voleur !… Mais voici le guet qui arrive… je vais appeler… tu seras pendu !…

Buhot disait vrai : on entendait dans le lointain le pas cadencé d’une patrouille.

— Si tu pousses un cri, je te tue ! reprit Alain en fermant sa main qui en-