Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/334

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

présenter mes excuses à madame, et ne pas vous presser ! Je vous attendrai, s’il le faut, jusqu’à ce soir plutôt que de manquer votre retour.

— Quelle folie, chevalier !. dit Nativa à voix basse à de Morvan. Aller ainsi exposer, sans motif, votre vie !…

— Merci de cet intérêt, mademoiselle, répondit de Morvan en aidant à Nativa à monter dans son carrosse qu’elle avait laissé près de la porte de la Conférence. Mais ne craignez rien ; les épées bretonnes valent mieux que celles des mu-