Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/258

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

selle, reprit-il avec découragement, le comte de Monterey a-t-il pu se résoudre à venir en France ?

— La haine de mon père est en ce moment sinon assoupie, au mois dominée par l’accomplissement d’un projet qui l’absorbe…

— Et ce projet, mademoiselle, doit sans doute me rester inconnu ?… Au fait, que suis-je pour vous ? ajouta tristement de Morvan après un court silence, un inconnu que le hasard a placé sur votre chemin, pauvre diable que vous