Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome III, 1853.djvu/111

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ne seriez-vous pas assez bon pour faire à présent dételer ?

— Qu’il en soit ainsi que vous désirez, répondit d’Aubigné qui, sonnant aussitôt, donna l’ordre au valet de remiser.

— À présent, dit Mathurin, que rien ne nous presse, permettez-moi, monsieur le comte de commencer notre entretien par une question incidente et tout à fait en dehors des intérêts dont nous aurons à nous occuper tout à l’heure.

— Voyons cette question, monsieur