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rien perdu de son air bonhomme et tranquille, fit un signe de tête affirmatif et se mit à marcher derrière son guide.

Le valet monta un premier étage, et ouvrant à deux battants une grande porte tapissée de velours : — M. le baron Legoff ! — s’écria-t-il, puis il s’éloigna.

La pièce dans laquelle Mathurin — ou le baron Legoff — entra, était meublée avec une somptuosité sans pareille ; toutefois, grâce au désordre qui y régnait, le luxe y manquait de dignité.