Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/93

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

vre et ignorant sauvage, était en ce moment chose douce à son cœur ; mon brave Alain, l’affaire qui m’avait appelé ici est terminée ; si tu n’es pas trop fatigué nous nous remettrons en route demain matin au point du jour.

— Ma foi je ne demande pas mieux, maître ; j’aime mieux les grandes routes que les grandes villes.

— Que diras-tu donc quand nous serons à Paris ?

— Oh ! ça, c’est différent ; comme