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— Je vous remercie, monsieur, répondit sèchement de Morvan, qui, se sentant à bout d’abnégation, reprit toute sa fierté ; puisque l’absence de mon banquier Cointo m’empêche de toucher ici l’argent dont je me trouve avoir, par hasard, besoin, je m’adresserai à un autre homme d’affaires.
— Ah ! mon Dieu ! j’y songe à présent, monsieur, s’écria à son tour la demoiselle Cointo, ne m’avez-vous pas dit que vous vous nommiez de Morvan ?
— Oui, mademoiselle, le chevalier de Morvan.