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— Merci, mon gars ; je n’ai pas faim. Je ne déjeûnerai pas.
— Vous ne déjeûnerez pas, répéta le Bas-Breton en regardant d’un air stupéfait le jeune homme. Vous êtes donc malade ?
— Je l’ignore !… je ne sais pas…
— Comment, vous ne savez pas ?… Tenez, monsieur le chevalier — reprit Alain avec accablement — vous avez un cœur courageux et qui ne craint pas d’entendre la vérité ; voulez-vous me