Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome II, 1853.djvu/259

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

per. J’en suis pour mes mille livres… Après tout, je pense, mon gentilhomme, que vous êtes trop juste et trop loyal pour ne pas m’indemniser : erreur n’est pas compte.

La réponse du maquignon fit écrouler, comme tombe un château de cartes sous le souffle d’un enfant, l’échafaudage de suppositions élevé par de Morvan et par Alain à propos de la mystérieuse conduite de Mathurin.

En effet, une maladresse de valet expliquait parfaitement la prétendue géné-