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cria-t-il, je crois que le parti le plus sage que nous ayons à prendre est de retourner à Penmark. Vous vous arrangerez facilement pour faire rebâtir votre maison ; vous tâcherez d’oublier vos idées de fortune, de ne plus vous rappeler ce voyage, et nous reprendrons notre ancien train de vie.

On conçoit combien ce projet devait peu sourire à l’amoureux jeune homme.

Aussi ne daigna-t-il même pas le discuter et se contenta-t-il de répondre à Alain :

— Tu es libre, mon gars, de ne pas