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Rassuré sur son repas, il se dirigea, ensuite ; selon son habitude quotidienne, vers l’écurie, pour s’assurer que son cheval ne manquait de rien.

Vers les cinq heures, le chevalier, en compagnie d’Alain, était installé dans sa chambre, devant une table vermoulue qui supportait leur piteux dîner, lorsqu’il vit le mystérieux carrosse s’arrêter devant l’auberge de l’Enchanteur-Merlin.

Il s’empressa de quitter la table et de courir à la fenêtre.