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— Hélas ! monseigneur, je n’ai engagé avec vous cette lutte, dans laquelle je savais bien devoir succomber tôt ou tard, que par dévoûment pour mon maître.

— Comment cela par dévoûment pour ton maître ? Quel est d’abord ton maître et en quoi donc ai-je voulu lui nuire ?

— Mon maître, monseigneur, est dans ce carrosse que vous voyez là, devant vous. Il a enlevé sa cousine que l’on contraignait à entrer au couvent et qui l’a appelé à son secours. Quant à