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le chevalier de morvan.
quand il avait acheté le cheval qu’il montait.
— Depuis ce matin, répondit le chevalier assez inquiet de cette question, qui lui fit suspecter la bonne foi de Mathurin.
— Eh bien ! mon gentilhomme, reprit le bourgeois, vous pouvez vous vanter de posséder une belle et bonne bête ; j’ai vendu de cheval hier même au prix de dix-huit cents livres, et je vous assure qu’il vaut encore davantage.