Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/322

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mark, et je résolus de supporter dignement mon abandon, sans jamais descendre jusqu’à faire des avances à une société qui semblait me repousser comme indigne d’elle.

Depuis lors, si ce n’est deux voyages que j’ai faits en Islande en qualité de volontaire, et pour accompagner un brave capitaine de la marine marchande, de mes amis, je suis resté plongé dans la désolante solitude où vous m’avez trouvé !…

Nativa, au début de l’histoire de Morvan, et quoiqu’elle eût sollicité elle-