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tour exalté et brisé sa sensibilité : sa vie, égarée dans le vide, venait enfin de trouver son point d’appui.

De Morvan, et ceci est un trait distinctif et saillant du caractère breton, joignait à cette imagination ardente, un rare positivisme d’esprit.

Nous demandons pardon de ce barbarisme indispensable pour bien faire comprendre au lecteur le caractère de de Morvan.

Pourtant depuis qu’il connaissait Na-