Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/180

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

mâts, en voyant arriver ce secours inattendu, se portèrent en foule vers la barque dans l’intention d’y chercher un refuge.

— Éloignons-nous ! s’écria Mathurin. Ces drôles sont capables, en envahissant notre canot, de le faire chavirer.

Le conseil était bon : de Morvan s’empressa de le suivre.

Alors se passa une de ces scènes horribles et sublimes tout à la fois qui sont si communes dans la vie des gens de mer.