Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Chevalier de Morvan), Tome I, 1853.djvu/136

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

que le chevalier, repoussant loin de lui son assiette, parut écouter à son tour avec une extrême attention le bruit de l’orage.

— Mais ce n’est point le tonnerre ! s’écria-t-il en abandonnant vivement sa place et en se dirigeant vers la porte, c’est le canon !…

— Pardi, je le savais bien, moi ! murmura Alain, ce sont mes cierges qui réussissent… Merci, notre brave Sainte-Anne, je vous revaudrai ça…

— Alain, dit de Morvan, qui, l’oreille