Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/266

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Où cela ? parle vite, s’écria Laurent, dont les yeux brillèrent d’une joie cupide.

— Retire cette pile de lingots d’argent appuyée contre les parois du rocher, continua Montbars. C’est cela… très bien ! À présent, passe ton bras dans cette excavation étroite. Tu hésites ? Crains-tu un piége ? Non, l’orgueil l’emporte. Appuie sur un bouton de métal qui se détache sur le roc poli. Là !… voici une porte qui joue sur ses gonds et nous présente un passage !… Oh ! ce n’est pas tout, un peu de patience ! Que diable ! ces dix millions méritaient bien