Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome XII, 1853.djvu/101

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Le jeune homme s’élança entre la porte et son oncle.

Le chef de la flibuste sourit.

— Merci, Louis, de ton intention, dit-il ; mais, rassure-toi. Jamais l’on n’osera me frapper, fut-ce même par surprise, en plein soleil ! Laurent, malgré son incontestable audace, reculerait devant une pareille témérité.

Les Espagnols ont renoncé à m’envoyer des assassins !… Personne n’ignore que mon regard devine aussi