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valier Louis. Je t’assure, Nativa que mon intention n’est pas de te causer le moindre chagrin… Mais réfléchis donc à la folie de ton amour. À quoi te conduira-t-il ?… À rien… Tu es fière, toi… Tu souffriras de te voir repoussée, dédaignée, car il te repoussera et te dédaignera mon chevalier !… Sois-en sûre. Crois-moi, renonce à tes projets… Ne t’expose pas à une honte certaine… Tu es riche et belle, bien des grands seigneurs de ta nation seraient heureux d’accepter ta main… Épouse un grand seigneur… C’est ce que tu as de mieux à faire…

— Il me semble, Fleur-des-Bois, in-