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bras et voulut s’éloigner ; mais à un regard suppliant que lui adressa Nativa, elle s’arrêta :

— Que désires-tu encore ? lui demanda-t-elle avec plus de douceur qu’elle n’eût voulu en mettre dans sa voix, car elle se repentait déjà de son premier moment de vivacité. Veux-tu arracher encore à mon chevalier un nouveau serment, celui de ne plus me voir ? Il le refuserait ! N’est-ce pas, mon chevalier Louis ? Le mieux, c’est que nous nous séparions !… Je te le répète… Adieu Nativa !…