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jours pour compléter ses provisions de bois et d’eau !

Montbars salua alors l’amiral avec la plus grande politesse, et se retournant vers de Morvan :

— Mon ami, lui dit-il toujours avec le même sang-froid, partons !

— Un moment je vous prie, interrompit le baron de Pointis. J’aurais quelques mots à dire à M. le chevalier de Morvan.