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ment du jeune homme, entra dans la cour du Gouvernement.

De Morvan le suivit.

À peine le chevalier avait-il franchi le seuil de la porte, qu’il fut surpris par l’apparition étrange du beau Laurent, qui, vêtu d’un magnifique costume tout ruisselant de pierreries et, chose inouïe, portant le grand cordon de saint Louis, se tenait dédaigneux, fier et superbe, au milieu d’un groupe d’officiers.