Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome X, 1853.djvu/292

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

plus tard l’héroïque vice-amiral Coëtlogon mourait des suites de sa blessure.

L’exemple que lui donnaient ses chefs était plus que suffisant pour exciter jusqu’au paroxysme l’enthousiasme de l’armée : jamais élan n’égala en impétuosité celui des troupes s’élançant à l’assaut, jamais attaque ne fut si furieuse !

Les flibustiers, poussant de véritables rugissements de tigre, s’accrochaient avec leurs ongles aux moindres scories de pierres, — la brèche étant trop étroite