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avait plus effrayés que l’attaque des grenadiers !…

Ils mirent tous leurs canons en jeu.

Vaine résistance ! inutile désespoir ! Les flibustiers, riant et chantant, avançaient comme s’il se fût agi pour eux, — ce qui était un peu vrai, — d’une partie de plaisir ! La mitraille abattait-elle un des leurs, il était aussitôt remplacé. C’était parmi eux une gaîté, des plaisanteries, des quolibets, à faire croire qu’ils étaient invulnérables !