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passer à travers les forêts vierges qui l’entourent, et d’arriver à sa partie faible.

— Passer à travers les forêts vierges, interrompit de nouveau l’amiral de Pointis, y pensez-vous, monsieur !… Ces forêts sont impraticables ; il faudrait employer des mois entiers pour s’y frayer un chemin.

— Vous vous trompez, monsieur l’amiral, là où pénètre le soleil, mes Boucaniers peuvent passer… Je m’engage à arriver d’ici à demain matin sur les der-