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Pointis et de son état-major, se mirent à crier : Vive Laurent !
— Eh bien ! Montbars, dit à voix basse de Morvan en s’adressant à son oncle, tu ne mêles plus cette fois ta voix à ces applaudissements. Le triomphe de Laurent, devenu trop complet, te contrarierait-il ?
— J’ai applaudi tout à l’heure Laurent, répondit Montbars, lorsqu’il était sincère dans son orgueil : il a eu un beau mouvement. À présent, ce qu’il dit, il ne le pense pas ! Il joue, mu par une