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rendu un service que je n’oublierai jamais !

— Ce n’est vraiment pas la peine de parler de cela, répondit Desrosiers : ce que j’ai fait pour vous, je le renouvelle à peu près tous les jours pour sauver un chien de ma meute.

— Comment êtes-vous donc parvenu à abattre ce taureau ? il est tombé comme foudroyé !

— D’une façon bien simple : je lui ai coupé d’abord le jarret, puis une fois par