Page:Duplessis - Les Boucaniers (Le Beau Laurent), Tome IX, 1853.djvu/194

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

eut dit qu’il venait d’entendre un abominable blasphème.

— Tirer avant le maître ! répondit-il enfin ; y pensez-vous, monsieur le chevalier.

— Il me semble plus naturel, cependant, de manquer de respect à son maître, surtout devant un cas de force majeure, que de se laisser sottement éventrer, dit de Morvan.

— Oh ! que non ! On ne meurt pas toujours d’un coup de corne, tandis que