Page:Dujardin - Antonia, 1899.djvu/150

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Siderea

En ces yeux qui sourient à vos plaintes.


Le Jeune Homme

Ô merveilleuse reine !


Rosea

N’est-ce pas qu’elle est la toute souveraine ?


Le Vieillard

Ô reine adorable !


Aurea

N’est-ce pas que c’est ici un pays de fable ?


L’Aïeul

Reine de rêve !


Rosea

N’est-ce pas que près d’elle tout destin s’achève ?


Le Jeune Homme

Ô reine de tendresse !


Le Vieillard

Toute-puissante charmeresse !