Page:Dugas - Psyché au cinéma, 1916.djvu/83

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

puis, je me relèverai des terrassements éphémères pour défier le jour et ses injures.

Je serai le poète déchiré par le soupir de la nuit, les clameurs du réveil, jusqu’à ce que, mille fois abattu, je redresse mon front pour m’abreuver, une dernière fois, des étoiles finales.

81