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VERS LES SOMMETS

première année de bonheur conjugal, s’éveillait. Jules dit, dans sa joie pure :

— Sais-tu bien, mon adorée petite femme, que nous venons de vivre treize mois de complète félicité ? Les plus belles idylles de roman pâlissent à côté de celle qui a été la nôtre. Notre roman à nous se double d’une tragi-comédie politique qui a fini en triomphe. Me sera-t-il possible un jour d’écrire ce superbe roman ? Comme je fus arrêté dans ma course vers Saint-Étienne et que, en conséquence, je fus sur le point de l’être dans celle que j’avais entreprise vers les cimes, je l’intitulerais : En cours de route, ou encore : Vers les sommets.

Et un brûlant baiser de part et d’autre en termina joyeusement la dernière phrase.

FIN.