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VERS LES SOMMETS

au prototype que je connais ; mais des jeunes de vingt-sept ans dont toute la jeunesse s’est écoulée parmi les livres, leurs seules passions, il y en a. Celui que vous dépeignez est plausible. Il m’a intéressé.

Bref, votre roman a de la vie, de la vérité, des idées, de la fraîcheur ; il est bien agencé, écrit dans une langue honnête. C’est un voyage au bout du jour. Il est des moments, et assez nombreux, où ça repose du voyage au bout de la nuit. Je vous félicite et vous remercie du plaisir que vous m’avez causé en me le faisant lire.

Croyez-moi, cher monsieur Dufour,


Votre dévoué,


Alfred DesROCHERS.