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l’ame de mes réflexions et de mes veilles ; au moins puis-je et dois-je vous assurer, qu’à son avènement, votre bonheur national suffira seul, pour me consoler de toutes mes disgrâces personnelles. Je ne puis conclure, par des sentiments plus dignes de vous, et en qualité de votre compatriote, j’ose le dire, plus dignes de moi.

J’ai l’honneur d’être, avec la plus parfaite considération,

Messieurs,
Votre très-humble et très-obéissant serviteur,
PIERRE DU CALVET.