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Nouveaux mystères et aventures

notre provision venait d’être achevée, et bien que nous eussions écrit à Londres, l’envoi n’était pas encore arrivé à destination.

J’attendais la réponse, respirant à peine.

J’espérais un refus, mais quelle ne fut pas mon épouvante ! Elle accepta avec empressement.

— Ne vous donnez pas la peine de sonner, Nell, dit Sol. Je ferai le sommelier.

Et avec un sourire plein de confiance, il se dirigea vers le petit placard où l’on mettait ordinairement les carafons.

Ce fut seulement après s’être engagé à fond qu’il se rappela soudain avoir entendu dire dans la matinée qu’il n’y avait plus de vin à la maison.

Son angoisse d’esprit fut telle qu’il passa le reste de la visite de mistress Salter dans le placard et se refusa à en sortir jusqu’à ce qu’elle fût partie.

S’il y avait eu une possibilité quelconque que le placard du vin eût une autre issue, qui aboutît ailleurs, la chose se serait arrangée, mais je savais la vieille mistress Salter parfaitement au fait de la géographie de la maison ; elle la connaissait aussi bien que moi.

Elle attendit pendant trois quarts d’heure que Sol reparût.