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vii


J’ai commencé ce récit par la copie d’une lettre ; je le finirai de même.

Celle-ci me vint d’un vieil ami, le Docteur B. C. Haller, homme de science encyclopédique et particulièrement au fait des mœurs et coutumes de l’Inde.

C’est grâce à sa complaisance que je suis en état de transcrire les divers mots indigènes que j’ai entendu de temps à autre prononcer par miss Warrender, et que je n’aurais pas été capable de retrouver dans ma mémoire, s’il ne me les avait rappelés.

Dans sa lettre, il fait des commentaires sur le sujet que je lui avais exposé quelque temps auparavant, au cours d’une conversation.